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“Atop a skyscraper” de Jade Loupange dépeint une femme sur le bord d’un immeuble à New York, évoquant une atmosphère mystérieuse et mélancolique. Le style rappelle les photographies d’Annie Leibovitz et Diane Arbus, avec une référence à « Lunch atop a skyscraper ». Elle explore l’isolement dans un environnement urbain.
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Cette photographie de Jade Loupange dépeint une femme perchée sur un gratte-ciel new-yorkais, défiant les lois de la pesanteur. L’audacieuse verticalité et l’arrière-plan monumental créent une tension frappante entre fragilité humaine et grandeur urbaine. Inspirée par des maîtres provocateurs, l’œuvre singulière aborde subtilement solitude et transgression.
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« Atop a Skyscraper III » de Jade Loupange montre une femme en manteau rouge, debout sur le rebord d’un bâtiment enveloppé de brouillard, en contraste avec l’arrière-plan urbain. Sa position risquée, sa coiffure échevelée et l’influence de styles photographiques et artistiques variés rendent cette œuvre particulièrement singulière.
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La photographie « Atop a skyscraper IV » de Jade Loupange montre une femme en robe sur le rebord d’un gratte-ciel. L’œuvre se distingue par son cadrage en contre-plongée, l’asymétrie du gant unique, et le contraste entre la netteté du sujet et le flou urbain. Elle évoque l’aliénation urbaine et questionne les stéréotypes de genre.
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« Atop a skyscraper VI » montre une femme en jupe au bord d’un gratte-ciel, figée entre équilibre et vertige. Le contraste entre sa posture tendue et l’architecture rigide interroge la place du corps féminin dans l’espace urbain. L’image mêle tension graphique, mise en scène et référence à la photographie de mode.
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« Automne, Highlands, Écosse » de Ása Snålmed est une représentation picturale d’un paysage écossais. Deux arbres se détachent sur un fond de collines sous un ciel nuageux. Le style de l’image est évocateur et mélancolique, évoquant les œuvres des peintres romantiques et des photographes contemporains.
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« Banana Pop » de Martin Greet représente une banane incurvée sur un fond neutre, avec une surface lisse et des reflets brillants qui rappellent le pop art et l’hyperréalisme. Son aspect sculptural, l’absence de contexte et la tension entre idéalisation et décomposition en font un objet ambigu, entre marchandise et symbole.
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La photographie de Ken Mikaige capture avec précision et patience un braque entouré d’une jungle multicolore, dans une composition soigneusement construite qui rend hommage à l’influence de peintres tels que le Douanier Rousseau et de photographes coloristes tels que William Eggleston.
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Cette photographie d’art au format carré dépeint un braque qui apparaît étrangement familier, pourtant il est drapé de teintes jaune et vert qui attirent immédiatement l’œil. L’image rappelle le style caractéristique de l’artiste William Wegman, célèbre pour ses portraits de chiens en costume, mais avec une touche de couleur plus saturée.
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« Crinière au vent » de Chang Baoshi présente un lion en studio, évoquant une icône de la mode. L’œuvre joue sur le décalage entre le contexte naturel et contrôlé du lion, offrant une nouvelle perspective sur la représentation de la faune sauvage dans l’art.
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« Empire Slate, New York » d’Elias Luter fragmente la ville en bandes verticales alternant opacité et transparence. Cette déconstruction évoque les strates temporelles de New York, mêlant la rigueur de Sheeler aux recompositions urbaines de Couturier, tandis que l’atmosphère brumeuse rappelle les vues modernistes de Stieglitz sur l’architecture urbaine.
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La photographie « Enfants, Haïti » de Sara Diva-Parc capture trois garçons sautant d’un quai. Le cadrage en contre-plongée et la superposition des plans créent une illusion optique intrigante. L’œuvre s’inscrit dans la tradition du reportage humaniste, rappelant les styles de Cartier-Bresson, Salgado et Winogrand, tout en offrant une perspective unique sur l’enfance.
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« Est-ce ainsi que les hommes vivent? » de Chang Baoshi représente un chimpanzé, main sur le visage, dans un geste évoquant l’exaspération humaine. Alliant réalisme détaillé et clair-obscur, l’œuvre invite à une double lecture : une scène humoristique ou une réflexion profonde sur les similitudes entre l’homme et l’animal.
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« Femme aux papillons » de Jade Loupange présente une femme en robe rouge, entourée de papillons et couronnée de fleurs, dans un environnement naturel. L’œuvre combine réalisme détaillé et éléments surréalistes, rappelant les styles de Rossetti, Waterhouse et Kahlo, et explore l’harmonie humain-nature et les thèmes de transformation.
« Femme Fleur I » de Jade Loupange est une œuvre qui met en scène une femme en robe blanche, entourée de fleurs. Le style rappelle les œuvres romantiques et symbolistes. L’œuvre célèbre la symbiose entre les éléments terrestres et humains et pourrait être interprétée comme une représentation de l’harmonie entre l’homme et la nature.
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La photographie « Guilin, Chine » d’Ása Snålmed présente un paysage de montagnes et rivière avec bateaux. Sa composition équilibrée, son traitement de la lumière et sa profondeur de champ évoquent le style shanshui, fusionnant photographie paysagère et esthétique picturale chinoise.
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« Husky bleu » est une photographie d’art de Ken Mikaige qui met en scène le chien emblématique des régions nordiques … au cœur d’une jungle luxuriante. Ce contraste visuel entre l’animal et son environnement tropical suscite une réflexion nécessaire sur les enjeux du réchauffement climatique.
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Le portrait « Jeune fille, Tunisie » d’Ayumi Yosaka évoque « Afghan Girl » de McCurry par son regard intense et sa composition centrée. L’œuvre se distingue par ses taches de rousseur, ses cheveux ondulés et son drapé orné. Elle explore l’identité culturelle et la transition vers l’adolescence, créant une tension entre tradition et jeunesse.
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Cette photographie en noir et blanc d’Ilenne Van Boitiz capture les formes sinueuses et angulaires d’une tulipe épanouie, créant une composition organique et fluide. L’artiste semble s’inscrire dans la lignée des photographes modernistes et des peintres expressionnistes, révélant l’essence de la fleur à travers un gros plan saisissant.
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« La Fleur-Papillon » d’Ilenne Van Boitiz présente une forme hybride entre pétale et aile, suspendue dans une composition symétrique et épurée. Inspirée par le biomorphisme, l’œuvre mêle précision des nervures et abstraction. Elle évoque les traditions photographiques de Blossfeldt et Weston, explorant les limites entre analyse scientifique et poésie visuelle.
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La photographie conceptuelle « La fragilité des rêves » de Martin Greet montre une femme flottant au-dessus d’une ville dense. L’œuvre juxtapose l’éphémère et l’immuable, évoquant le surréalisme de Magritte. Elle s’inspire de la « jumpology » de Halsman et du style de Bourdin, explorant les thèmes de l’aliénation urbaine et des aspirations humaines.
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« La Gitane », une œuvre générée par IA de Ayumi Yosaka, évoque Brigitte Bardot en train de fumer … une Gitane. Le style rappelle Man Ray, Annie Leibovitz et Richard Avedon.
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« La grande vague » de Sara Diva-Parc présente une vague monumentale sous un cadrage vertical, soulignant sa dimension sculpturale et architecturale. L’absence d’horizon renforce son autonomie visuelle, tandis que l’opposition entre fluidité et densité inscrit l’œuvre entre pictorialisme et minimalisme. La lumière façonne textures et contrastes, accentuant l’impression de mouvement suspendu.
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« La tanière de l’ours » de Martin Greet dépeint un intérieur luxueux avec vue sur un ours polaire. L’œuvre souligne le contraste entre le confort humain et l’habitat naturel des animaux, questionnant l’impact de nos actions sur l’environnement.
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« Lame de fond » de Sara Diva-Parc s’inspire des maîtres de la photographie marine Ray Collins et Philip Plisson. Cette œuvre allie puissance des vagues et composition soignée. Approche technique et instant décisif confèrent une présence visuelle remarquable, invitant à contempler la force de la nature par l’art photographique.
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L’œuvre « Le caniche dandy » de Ken Mikaige représente un caniche vêtu d’un costume et de lunettes. L’œuvre peut être interprétée comme une représentation de l’anthropomorphisme ou une illustration de la mode canine. L’inspiration de l’œuvre provient d’Andy Warhol et William Wegman.
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« Le Pinscher Amusé » de Ken Mikaige est un portrait réaliste d’un pinscher nain. L’œuvre, inspirée par William Wegman, met en scène un chien vêtu et positionné au centre, créant une symétrie agréable. L’expression attentive du chien et les détails précis contribuent à l’anthropomorphisme de l’œuvre.
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« Le rouleau » de Sara Diva-Parc capture la puissance impressionnante d’une vague monumentale de la mer bretonne. La composition verticale, avec son format 2:3, met en évidence le rouleau caractéristique à l’extrémité de la vague, évoquant l’intensité d’un cyclone. La photographie, habilement retravaillée en post-production, offre une expérience visuelle immersive qui témoigne de la grandeur et…
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« Moi et mon chien II » de Ken Mikaige juxtapose une jeune ballerine et un Saint-Bernard massif. La composition évoque les portraits de Sargent, tandis que l’humour rappelle Erwitt. Le contraste entre la grâce de l’enfant et l’imposante présence du chien crée une tension visuelle. L’œuvre mêle élégance classique et surréalisme doux, suggérant une relation unique…
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« Moi et mon chien III » de Ken Mikaige présente un astronaute et un chien de berger marchant sur une colline écossaise. Cette photographie juxtapose technologie et nature, évoquant le surréalisme et le dépaysement. L’œuvre s’inscrit dans la tradition du photomontage, rappelant les tableaux vivants de Gregory Crewdson et les compositions de Magritte, tout en abordant…
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« Mon beau sapin » de Willa Megston présente une voiture vintage transportant un sapin décoré dans un paysage hivernal. La composition, marquée par une profondeur de champ maîtrisée, fait ressortir la solitude du décor, tandis que la lumière subtile et l’atmosphère brumeuse créent une tension entre le mouvement et l’immobilité.
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« Paris Angel » de Martin Greet est une photo surréaliste représentant une femme suspendue au-dessus de Paris. L’œuvre évoque le surréalisme de Dali et Pierre et Gilles, et interroge le rôle de la mode dans le monde contemporain.
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« Paris Glamour » de Jade Loupange est une photo monochrome d’une femme anonyme dans une rue animée. L’œuvre s’inspire des travaux de Richard Avedon, Helmut Newton et Patrick Demarchelier, avec un accent sur le contraste, la profondeur de champ et l’utilisation de la lumière et de l’ombre.
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Dans « Pensée éphémère », Ilenne Van Boitiz présente une fleur isolée sur un fond neutre, où la symétrie rigoureuse et les veinures des pétales créent une étude formelle minimaliste. Le cadrage centré et l’absence de contexte ancrent l’œuvre dans une abstraction méditative, évoquant les traditions photographiques botaniques et modernistes.
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L’œuvre « Perroquet iroquois » d’Ása Snålmed établit un parallèle entre les cultures autochtones et la faune menacée. La crête du perroquet, évoquant les coiffes iroquoises, souligne les similitudes entre le sort des peuples amérindiens et celui des espèces en danger. Cette composition centrée questionne la préservation de la biodiversité et de la diversité culturelle.
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« Portrait aux cheveux blancs » de Jade Loupange est une photographie de mode au format carré, mettant en valeur un portrait à mi-buste d’un modèle de trois-quarts. Son style s’inspire des maîtres de la photographie de mode, tels que Franck Horvat et Patrick Demarchelier, avec une touche d’influence de Jean-Paul Goude et son audace artistique.
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