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« Les guetteurs du vide » de Rosine Chufisant représente quatre amis contemplant un canyon urbain depuis une corniche d’immeuble. L’œuvre fusionne l’esthétique manga avec l’illustration architecturale européenne. Sa composition verticale, sa perspective en plongée et son train solitaire traversant des infrastructures monumentales créent une tension entre présence humaine et urbanisme déshumanisant inspiré de Otomo, Schuiten et…
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« Atop a skyscraper VI » montre une femme en jupe au bord d’un gratte-ciel, figée entre équilibre et vertige. Le contraste entre sa posture tendue et l’architecture rigide interroge la place du corps féminin dans l’espace urbain. L’image mêle tension graphique, mise en scène et référence à la photographie de mode.
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« La vie en rouge » de Donna Glisco montre une femme allongée versant du vin dans un verre tenu au-dessus d’elle, les yeux fermés. Le geste, à la fois intime et décalé, mêle insouciance et légèreté. Le titre joue sur l’expression « La vie en rose » avec une touche ironique.
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« Les vieux amis » représente quatre hommes assis face à la mer, figés dans une posture silencieuse. L’absence d’interaction, les chapeaux posés au sol et le cadrage frontal évoquent un lien entre isolement et souvenir. L’influence de Magritte, Hopper et la peinture métaphysique souligne l’ambiguïté entre réalisme et onirisme.
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« Mer aux chapeaux colorés » de Peer Nuit représente quatre figures immobiles, vues de dos, alignées face à la mer. Leur anonymat et l’absence d’interaction rappellent Magritte, Hopper et De Chirico. La composition rigoureuse, la lumière diffuse et l’atmosphère suspendue créent une tension entre réalisme et onirisme.
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« Les amants de New York » représente un couple allongé sur un toit, surplombant une ville quadrillée et animée. La perspective plongeante crée un effet de vertige, renforçant la tension entre l’intimité des personnages et l’immensité urbaine. L’architecture monumentale structure l’image, évoquant Otomo et Schuiten.
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« La cité orange » de Rosine Chufisant présente une ville futuriste structurée par une perspective centrale et des gratte-ciels élancés. Son style hybride mêle illustration architecturale et art numérique, avec des lignes précises rappelant les études de Sant’Elia et Ferriss. L’absence humaine et la monumentalité interrogent la relation entre urbanisme et isolement.
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« Les vases bleus » de Peer Nuit présente un chat figé entre deux vases en porcelaine, intégrant un élément vivant à une nature morte rigoureuse. L’influence du japonisme et des natures mortes modernes se perçoit dans la frontalité de la composition, la stylisation des formes et la tension entre immobilité et présence animale.
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« La grande vague » de Sara Diva-Parc présente une vague monumentale sous un cadrage vertical, soulignant sa dimension sculpturale et architecturale. L’absence d’horizon renforce son autonomie visuelle, tandis que l’opposition entre fluidité et densité inscrit l’œuvre entre pictorialisme et minimalisme. La lumière façonne textures et contrastes, accentuant l’impression de mouvement suspendu.
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« La cité rouge » de Rosine Chufisant présente une ville futuriste structurée par une architecture massive et géométrique. Un gratte-ciel arrondi domine la composition, son ouverture sombre suggérant une transition vers l’inconnu. L’absence de figures humaines et la perspective amplifiée renforcent une vision urbaine où technologie et monumentalité redéfinissent l’espace.
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« New York Retropolis » représente une ville futuriste où gratte-ciels, ponts et structures suspendues s’entrelacent en un paysage dense. La statue de la Liberté et un Brooklyn Bridge réinventé ancrent la scène dans un imaginaire new-yorkais. Une femme en rouge, isolée sur un balcon, observe cette métropole verticale en perpétuelle mutation.
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« New York 2099 » de Rosine Chufisant représente une mégalopole futuriste aux structures denses et verticales, intégrant jardins suspendus et plateformes flottantes. Inspirée de Moebius, Mead et Piranesi, l’œuvre juxtapose architecture modulaire et perspectives illusionnistes, évoquant une urbanisation infinie entre utopie technologique et fragmentation spatiale.
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« Zèbre pop » d’Elke Palu présente un réseau de lignes sinueuses créant une instabilité optique proche de l’Op Art. Inspirée par Bridget Riley, Keith Haring et Victor Vasarely, l’œuvre joue sur le mouvement, la répétition et l’absence de hiérarchie, mêlant abstraction, graphisme et une approche systématique de la composition.
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« Mars City 2099 » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste dense, structurée en modules empilés et reliés par des passerelles. L’urbanisme vertical et la perspective accentuée rappellent Syd Mead, tandis que la ligne précise évoque Moebius. L’ajout de végétation contraste avec l’architecture mécanisée, explorant l’équilibre entre technologie et nature.
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« Empire Slate, New York » d’Elias Luter fragmente la ville en bandes verticales alternant opacité et transparence. Cette déconstruction évoque les strates temporelles de New York, mêlant la rigueur de Sheeler aux recompositions urbaines de Couturier, tandis que l’atmosphère brumeuse rappelle les vues modernistes de Stieglitz sur l’architecture urbaine.
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« La lune rose » de Rosine Chufisant représente une ville rétro-futuriste aux structures modulaires denses, influencée par Moebius, Syd Mead et Hugh Ferriss. Son architecture verticale, dépourvue d’humains, évoque une mégastructure autonome. L’organisation spatiale et l’absence de dystopie marquée interrogent l’évolution des environnements urbains et leur finalité.
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« La ville rose » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste structurée par une perspective centrale et des architectures modulaires inspirées de Moebius, Syd Mead et Hugh Ferriss. L’absence de végétation et d’habitants, combinée à des vaisseaux flottants, interroge la relation entre urbanisme technologique, mobilité aérienne et standardisation des espaces habités.
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« Arbres en hiver II » de Diane Darren représente une colline sombre surmontée d’arbres nus, aux branches entrelacées, contrastant avec un ciel uniforme. Une route sinueuse guide le regard vers un horizon masqué. L’opposition entre formes pleines et lignes épurées crée une tension entre fixité et mouvement, ancrage et élévation.
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« Homme Pomme » de Peer Nuit représente un homme immobile en costume et chapeau melon, dont le visage est masqué par une pomme en lévitation. La composition symétrique et le contraste entre réalisme et incongruité rappellent Magritte. L’œuvre joue sur l’anonymat, la perception et la dissimulation à travers un motif symbolique.
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« Banana Pop » de Martin Greet représente une banane incurvée sur un fond neutre, avec une surface lisse et des reflets brillants qui rappellent le pop art et l’hyperréalisme. Son aspect sculptural, l’absence de contexte et la tension entre idéalisation et décomposition en font un objet ambigu, entre marchandise et symbole.
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« New Tokyo 2099 » de Rosine Chufisant représente un pilote solitaire survolant une ville futuriste, dense et verticalisée, où la précision des lignes souligne une perspective vertigineuse. L’œuvre, influencée par la science-fiction européenne et japonaise, explore le lien entre l’individu et une urbanisation massive, mêlant minimalisme technologique et monumentalité architecturale.
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« Quadrature du cercle » d’Elke Palu se distingue par un cercle légèrement décalé du centre, occupant un quart de la surface et structurant la composition. Ce point focal crée une tension avec les formes rectilignes environnantes. La texture granuleuse et les superpositions ajoutent une profondeur visuelle, renforçant l’interaction entre centralité et asymétrie.
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« New York matin clair » de Karla Fidho explore l’interaction entre la monumentalité des gratte-ciels et une lumière étudiée avec précision. Inspirée par Monet, l’œuvre capte la fugacité atmosphérique tout en s’inscrivant dans une démarche post-impressionniste structurée. La tension entre rigidité architecturale et fluidité lumineuse confère une profondeur contemplative à cette scène urbaine.
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« Est-ce ainsi que les hommes vivent? » de Chang Baoshi représente un chimpanzé, main sur le visage, dans un geste évoquant l’exaspération humaine. Alliant réalisme détaillé et clair-obscur, l’œuvre invite à une double lecture : une scène humoristique ou une réflexion profonde sur les similitudes entre l’homme et l’animal.
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« Chat lové » de Rosine Chufisant dépeint l’intimité d’une femme endormie contre un chat noir, dans un style inspiré de l’ukiyo-e et des cadrages impressionnistes. Les détails floraux et la texture subtile évoquent une ambiance onirique, tandis que le chat, élément central, symbolise une quiétude partagée dans une composition harmonieuse.
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Dans « Soleil du matin rouge » de Peer Nuit, la scène revisite « Soleil du matin » d’Edward Hopper en transposant une figure féminine dans un espace urbain épuré. La fenêtre devient un cadre symbolique, amplifiant l’isolement et la contemplation. L’œuvre explore l’ambivalence moderne entre intériorité et urbanité, mêlant minimalisme et tension narrative.
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« Femme bleu et rose » de Rosine Chufisant est un portrait en profil mêlant aplats simplifiés et textures sculpturales. La coiffure sphérique contraste avec le fond dégradé, tandis que l’œuvre explore une tension entre abstraction et figuration. Elle s’inscrit dans une tradition néo-pop, évoquant des thèmes identitaires et des références aux codes artistiques modernes.
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« Avion de Vinci » de Peer Nuit est une esquisse technique détaillée d’un avion, combinant tracés géométriques, annotations et perspective latérale. Inspirée des croquis mécaniques de Léonard de Vinci, elle explore la fusion entre art et science, questionnant la relation humain-machine et valorisant le croquis comme outil d’analyse et de projection technique.
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« Arbres en hiver » de Diane Darren est une œuvre minimaliste où des troncs élancés se dressent devant des collines géométriques. La composition équilibre abstraction et figuration, avec des lignes verticales contrastant des formes planes. Inspirée par Nicolas de Staël, Zao Wou-Ki et Andrew Wyeth, elle explore silence, dépouillement et symbolisme naturel.
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« Femme endormie aux fleurs » de Leo Delorni représente une jeune femme allongée dans un environnement floral, où son corps et les motifs se mêlent harmonieusement. Inspirée des préraphaélites, de Klimt et de Monet, l’œuvre se distingue par l’intégration des motifs naturels, la lumière diffuse et une continuité entre figure et décor.
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Dans « La maison blanche aux arbres bleus », Diane Darren compose un paysage impressionniste contemporain mêlant dynamisme du ciel tourbillonnant à des arbres aux formes légèrement abstraites. La petite maison blanche, discrète mais centrale, contraste avec la nervosité du ciel, évoquant l’intensité dramatique des œuvres tardives de Van Gogh.
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« Mon beau sapin » de Willa Megston présente une voiture vintage transportant un sapin décoré dans un paysage hivernal. La composition, marquée par une profondeur de champ maîtrisée, fait ressortir la solitude du décor, tandis que la lumière subtile et l’atmosphère brumeuse créent une tension entre le mouvement et l’immobilité.
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« La Fleur-Papillon » d’Ilenne Van Boitiz présente une forme hybride entre pétale et aile, suspendue dans une composition symétrique et épurée. Inspirée par le biomorphisme, l’œuvre mêle précision des nervures et abstraction. Elle évoque les traditions photographiques de Blossfeldt et Weston, explorant les limites entre analyse scientifique et poésie visuelle.
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« La Jeune Fille au Cheval Blanc », de Peer Nuit, représente une jeune femme aux cheveux rouges en interaction avec un cheval blanc dans un paysage urbain onirique. L’œuvre, inspirée de Chagall et Dufy, explore un lien fusionnel entre humain et animal, renforcé par des motifs ornementaux et une spatialité flottante.
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« Portrait de femmes » d’Ilenne Van Boitiz présente deux femmes aux visages rapprochés, baignées par une lumière sculptée, créant une tension subtile. Le fond noir minimaliste et la composition frontale soulignent la relation intime et le contraste entre les deux sujets, interrogeant l’identité, l’altérité et la représentation visuelle.
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Dans « Pensée éphémère », Ilenne Van Boitiz présente une fleur isolée sur un fond neutre, où la symétrie rigoureuse et les veinures des pétales créent une étude formelle minimaliste. Le cadrage centré et l’absence de contexte ancrent l’œuvre dans une abstraction méditative, évoquant les traditions photographiques botaniques et modernistes.
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