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« Mon beau sapin » de Willa Megston présente une voiture vintage transportant un sapin décoré dans un paysage hivernal. La composition, marquée par une profondeur de champ maîtrisée, fait ressortir la solitude du décor, tandis que la lumière subtile et l’atmosphère brumeuse créent une tension entre le mouvement et l’immobilité.
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« La Fleur-Papillon » d’Ilenne Van Boitiz présente une forme hybride entre pétale et aile, suspendue dans une composition symétrique et épurée. Inspirée par le biomorphisme, l’œuvre mêle précision des nervures et abstraction. Elle évoque les traditions photographiques de Blossfeldt et Weston, explorant les limites entre analyse scientifique et poésie visuelle.
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« Portrait de femmes » d’Ilenne Van Boitiz présente deux femmes aux visages rapprochés, baignées par une lumière sculptée, créant une tension subtile. Le fond noir minimaliste et la composition frontale soulignent la relation intime et le contraste entre les deux sujets, interrogeant l’identité, l’altérité et la représentation visuelle.
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Dans « Pensée éphémère », Ilenne Van Boitiz présente une fleur isolée sur un fond neutre, où la symétrie rigoureuse et les veinures des pétales créent une étude formelle minimaliste. Le cadrage centré et l’absence de contexte ancrent l’œuvre dans une abstraction méditative, évoquant les traditions photographiques botaniques et modernistes.
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Cette photographie en noir et blanc d’Ilenne Van Boitiz capture les formes sinueuses et angulaires d’une tulipe épanouie, créant une composition organique et fluide. L’artiste semble s’inscrire dans la lignée des photographes modernistes et des peintres expressionnistes, révélant l’essence de la fleur à travers un gros plan saisissant.
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La photographie « Enfants, Haïti » de Sara Diva-Parc capture trois garçons sautant d’un quai. Le cadrage en contre-plongée et la superposition des plans créent une illusion optique intrigante. L’œuvre s’inscrit dans la tradition du reportage humaniste, rappelant les styles de Cartier-Bresson, Salgado et Winogrand, tout en offrant une perspective unique sur l’enfance.
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« Moi et mon chien III » de Ken Mikaige présente un astronaute et un chien de berger marchant sur une colline écossaise. Cette photographie juxtapose technologie et nature, évoquant le surréalisme et le dépaysement. L’œuvre s’inscrit dans la tradition du photomontage, rappelant les tableaux vivants de Gregory Crewdson et les compositions de Magritte, tout en abordant…
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« Empreinte carbone » d’Elias Luter utilise la double exposition pour fusionner un visage sculpté dans la roche avec la skyline de New York. Cette œuvre explore la relation entre nature et urbanisation, évoquant les photomontages surréalistes et la nouvelle topographie. La composition verticale et la juxtaposition des textures créent une réflexion sur l’anthropocène et l’impact humain…
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« La vague et le goéland » de Sara Diva-Parc présente une vague s’écrasant sur des rochers sous un ciel orageux. La composition utilise la règle des tiers, avec un goéland comme point focal. La vitesse d’obturation rapide capte le mouvement de l’eau, créant une tension entre mouvement et immobilité.
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« Volcan enneigé, Alaska » de Ása Snålmed représente un volcan enneigé en activité sous un ciel orageux, avec un petit avion jaune volant près du sommet. La composition utilise des lignes diagonales et capture des contrastes entre la neige et les nuages, évoquant des thèmes de puissance et de fragilité de la nature.
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« Les trois goélands » de Sara Diva-Parc est un paysage marin minimaliste qui fusionne ciel et mer. L’œuvre se distingue par son flou artistique, évoquant les techniques de Turner et Sugimoto. La présence discrète des goélands ajoute du dynamisme à la composition épurée. Cette pièce explore la temporalité et l’éphémère dans la nature.
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L’œuvre « Perroquet iroquois » d’Ása Snålmed établit un parallèle entre les cultures autochtones et la faune menacée. La crête du perroquet, évoquant les coiffes iroquoises, souligne les similitudes entre le sort des peuples amérindiens et celui des espèces en danger. Cette composition centrée questionne la préservation de la biodiversité et de la diversité culturelle.
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La photographie « Atop a skyscraper IV » de Jade Loupange montre une femme en robe sur le rebord d’un gratte-ciel. L’œuvre se distingue par son cadrage en contre-plongée, l’asymétrie du gant unique, et le contraste entre la netteté du sujet et le flou urbain. Elle évoque l’aliénation urbaine et questionne les stéréotypes de genre.
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L’œuvre « Perroquet bleu en vol » d’Ása Snålmed combine précision ornithologique et approche artistique contemporaine. La composition épurée isole le sujet sur fond noir, évoquant le clair-obscur. La photographie haute vitesse révèle des détails imperceptibles, questionnant le mouvement et la temporalité. Cette œuvre hybride entre documentation et expression artistique interroge notre rapport à la nature.
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La photographie conceptuelle « La fragilité des rêves » de Martin Greet montre une femme flottant au-dessus d’une ville dense. L’œuvre juxtapose l’éphémère et l’immuable, évoquant le surréalisme de Magritte. Elle s’inspire de la « jumpology » de Halsman et du style de Bourdin, explorant les thèmes de l’aliénation urbaine et des aspirations humaines.
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La photographie de Chang Baoshi montre un éléphant projetant de l’eau en studio sur fond noir, une mise en scène rare. L’animal, yeux fermés, semble presque malicieux. La prise de vue à grande vitesse fige les gouttelettes d’eau, créant des motifs complexes. Cette œuvre présente un animal sauvage dans un contexte inattendu, questionnant notre perception.
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Le portrait « Jeune fille, Tunisie » d’Ayumi Yosaka évoque « Afghan Girl » de McCurry par son regard intense et sa composition centrée. L’œuvre se distingue par ses taches de rousseur, ses cheveux ondulés et son drapé orné. Elle explore l’identité culturelle et la transition vers l’adolescence, créant une tension entre tradition et jeunesse.
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Le photomontage « Nocturne urbain » d’Elias Luter fusionne des éléments architecturaux de diverses métropoles, créant une hyper-réalité urbaine. La technique de superposition évoque un palimpseste urbain. L’absence de figures humaines et la manipulation de la perspective génèrent une tension entre claustrophobie et vertige, reflétant l’expérience urbaine contemporaine. L’œuvre s’inscrit dans le néo-pictorialisme numérique.
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« Los Chicagos » d’Elias Luter fusionne les paysages de Los Angeles et Chicago dans une composition dense. Cette photographie composite présente une skyline fictive avec une profondeur de champ étendue. L’œuvre joue sur les contrastes entre rigidité architecturale et douceur atmosphérique, explorant les thèmes de l’isolement urbain et de la perception de l’espace citadin.
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« Moi et mon chien II » de Ken Mikaige juxtapose une jeune ballerine et un Saint-Bernard massif. La composition évoque les portraits de Sargent, tandis que l’humour rappelle Erwitt. Le contraste entre la grâce de l’enfant et l’imposante présence du chien crée une tension visuelle. L’œuvre mêle élégance classique et surréalisme doux, suggérant une relation unique…
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« Les paradoxes de la vertu » d’Ayumi Yosaka présente une nonne fumant une cigarette. Le cadrage serré et l’éclairage directionnel accentuent le contraste entre la coiffe religieuse et l’acte de fumer. La composition asymétrique et la fumée créent une tension visuelle. L’œuvre explore les contradictions entre apparence et comportement, invitant à une réflexion sur les paradoxes…
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La photographie « Guilin, Chine » d’Ása Snålmed présente un paysage de montagnes et rivière avec bateaux. Sa composition équilibrée, son traitement de la lumière et sa profondeur de champ évoquent le style shanshui, fusionnant photographie paysagère et esthétique picturale chinoise.
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« Atop a Skyscraper III » de Jade Loupange montre une femme en manteau rouge, debout sur le rebord d’un bâtiment enveloppé de brouillard, en contraste avec l’arrière-plan urbain. Sa position risquée, sa coiffure échevelée et l’influence de styles photographiques et artistiques variés rendent cette œuvre particulièrement singulière.
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Cette photographie de Jade Loupange dépeint une femme perchée sur un gratte-ciel new-yorkais, défiant les lois de la pesanteur. L’audacieuse verticalité et l’arrière-plan monumental créent une tension frappante entre fragilité humaine et grandeur urbaine. Inspirée par des maîtres provocateurs, l’œuvre singulière aborde subtilement solitude et transgression.
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« Delta, vue du ciel » d’Elias Luter est une photographie aérienne où des rivières forment une structure arborescente sur du sable et de l’eau. La perspective aérienne révèle la complexité et l’interconnexion des motifs hydrologiques, rappelant les œuvres de Burtynsky et Arthus-Bertrand. Cette œuvre évoque des thèmes de connexion et d’interdépendance naturelle.
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« Ara rose et bleu » par Ása Snålmed est une photographie d’un perroquet en vol, capturant ses ailes déployées avec précision. L’image combine réalisme et surréalisme, rappelant les œuvres d’Audubon et Flach. Le fond sombre et les détails des plumes créent une tension visuelle et évoquent la dualité liberté-captivité.
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« Femme aux papillons » de Jade Loupange présente une femme en robe rouge, entourée de papillons et couronnée de fleurs, dans un environnement naturel. L’œuvre combine réalisme détaillé et éléments surréalistes, rappelant les styles de Rossetti, Waterhouse et Kahlo, et explore l’harmonie humain-nature et les thèmes de transformation.
« Anges de l’amour » de Jade Loupange est une œuvre photographique représentant un couple d’anges dans une scène intime. Inspirée par Pierre et Gilles, David LaChapelle et Jean-Paul Goude, elle défie les conventions traditionnelles associées aux anges, en les présentant comme des êtres sensuels et amoureux.
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« La tanière de l’ours » de Martin Greet dépeint un intérieur luxueux avec vue sur un ours polaire. L’œuvre souligne le contraste entre le confort humain et l’habitat naturel des animaux, questionnant l’impact de nos actions sur l’environnement.
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« Crinière au vent » de Chang Baoshi présente un lion en studio, évoquant une icône de la mode. L’œuvre joue sur le décalage entre le contexte naturel et contrôlé du lion, offrant une nouvelle perspective sur la représentation de la faune sauvage dans l’art.
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« Le Pinscher Amusé » de Ken Mikaige est un portrait réaliste d’un pinscher nain. L’œuvre, inspirée par William Wegman, met en scène un chien vêtu et positionné au centre, créant une symétrie agréable. L’expression attentive du chien et les détails précis contribuent à l’anthropomorphisme de l’œuvre.
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« Tony M. » de Ayumi Yosaka est un portrait en profil inspiré de Tony Montana, fumant une cigarette. L’œuvre évoque le style de Caravage et s’inspire de Daido Moriyama et Richard Avedon. Elle explore des thèmes comme l’identité, le pouvoir et la dualité de la nature humaine.
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“Atop a skyscraper” de Jade Loupange dépeint une femme sur le bord d’un immeuble à New York, évoquant une atmosphère mystérieuse et mélancolique. Le style rappelle les photographies d’Annie Leibovitz et Diane Arbus, avec une référence à « Lunch atop a skyscraper ». Elle explore l’isolement dans un environnement urbain.
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« Chalutier dans la tempête » de Sara Diva-Parc est une œuvre réaliste avec une touche d’exagération, illustrant un bateau de pêche luttant contre des vagues tumultueuses. Elle peut être interprétée comme une métaphore des défis insurmontables et de la lutte constante entre l’homme et la nature.
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« Femme Fleur I » de Jade Loupange est une œuvre qui met en scène une femme en robe blanche, entourée de fleurs. Le style rappelle les œuvres romantiques et symbolistes. L’œuvre célèbre la symbiose entre les éléments terrestres et humains et pourrait être interprétée comme une représentation de l’harmonie entre l’homme et la nature.
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« Automne, Highlands, Écosse » de Ása Snålmed est une représentation picturale d’un paysage écossais. Deux arbres se détachent sur un fond de collines sous un ciel nuageux. Le style de l’image est évocateur et mélancolique, évoquant les œuvres des peintres romantiques et des photographes contemporains.
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Explorez les différentes thématiques et les diverses techniques artistiques utilisées dans les œuvres d’art de maiiart.