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« Zèbre pop » d’Elke Palu présente un réseau de lignes sinueuses créant une instabilité optique proche de l’Op Art. Inspirée par Bridget Riley, Keith Haring et Victor Vasarely, l’œuvre joue sur le mouvement, la répétition et l’absence de hiérarchie, mêlant abstraction, graphisme et une approche systématique de la composition.
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« Arbres en hiver II » de Diane Darren représente une colline sombre surmontée d’arbres nus, aux branches entrelacées, contrastant avec un ciel uniforme. Une route sinueuse guide le regard vers un horizon masqué. L’opposition entre formes pleines et lignes épurées crée une tension entre fixité et mouvement, ancrage et élévation.
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« Quadrature du cercle » d’Elke Palu se distingue par un cercle légèrement décalé du centre, occupant un quart de la surface et structurant la composition. Ce point focal crée une tension avec les formes rectilignes environnantes. La texture granuleuse et les superpositions ajoutent une profondeur visuelle, renforçant l’interaction entre centralité et asymétrie.
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« New York matin clair » de Karla Fidho explore l’interaction entre la monumentalité des gratte-ciels et une lumière étudiée avec précision. Inspirée par Monet, l’œuvre capte la fugacité atmosphérique tout en s’inscrivant dans une démarche post-impressionniste structurée. La tension entre rigidité architecturale et fluidité lumineuse confère une profondeur contemplative à cette scène urbaine.
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« Est-ce ainsi que les hommes vivent? » de Chang Baoshi représente un chimpanzé, main sur le visage, dans un geste évoquant l’exaspération humaine. Alliant réalisme détaillé et clair-obscur, l’œuvre invite à une double lecture : une scène humoristique ou une réflexion profonde sur les similitudes entre l’homme et l’animal.
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« Chat lové » de Rosine Chufisant dépeint l’intimité d’une femme endormie contre un chat noir, dans un style inspiré de l’ukiyo-e et des cadrages impressionnistes. Les détails floraux et la texture subtile évoquent une ambiance onirique, tandis que le chat, élément central, symbolise une quiétude partagée dans une composition harmonieuse.
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« La Fleur-Papillon » d’Ilenne Van Boitiz présente une forme hybride entre pétale et aile, suspendue dans une composition symétrique et épurée. Inspirée par le biomorphisme, l’œuvre mêle précision des nervures et abstraction. Elle évoque les traditions photographiques de Blossfeldt et Weston, explorant les limites entre analyse scientifique et poésie visuelle.
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« Portrait de femmes » d’Ilenne Van Boitiz présente deux femmes aux visages rapprochés, baignées par une lumière sculptée, créant une tension subtile. Le fond noir minimaliste et la composition frontale soulignent la relation intime et le contraste entre les deux sujets, interrogeant l’identité, l’altérité et la représentation visuelle.
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Dans « Pensée éphémère », Ilenne Van Boitiz présente une fleur isolée sur un fond neutre, où la symétrie rigoureuse et les veinures des pétales créent une étude formelle minimaliste. Le cadrage centré et l’absence de contexte ancrent l’œuvre dans une abstraction méditative, évoquant les traditions photographiques botaniques et modernistes.
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Cette photographie en noir et blanc d’Ilenne Van Boitiz capture les formes sinueuses et angulaires d’une tulipe épanouie, créant une composition organique et fluide. L’artiste semble s’inscrire dans la lignée des photographes modernistes et des peintres expressionnistes, révélant l’essence de la fleur à travers un gros plan saisissant.
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« Rouge baiser » de Rosine Chufisant réinterprète le motif des lèvres du pop art avec un pointillisme numérique, fusionnant tradition et modernité. L’œuvre évoque les techniques de Warhol et Lichtenstein tout en questionnant la représentation féminine contemporaine. Le cadrage serré et la fragmentation de l’image invitent à une réflexion sur l’intimité à l’ère numérique.
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« Femme rêveuse aux coquelicots rouges » de Rosine Chufisant fusionne Art Nouveau et esthétique manga dans un portrait onirique. L’œuvre présente une femme asiatique aux yeux clos, entourée de motifs aquatiques et de coquelicots flottants. La composition verticale, les lignes fluides et le mélange de techniques picturales créent une atmosphère éthérée, évoquant l’introspection et le rêve.
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« Portes de l’Antique » de Leo Delorni est une peinture contemporaine semi-abstraite représentant une scène architecturale avec des formes géométriques dominantes, divisée en une partie supérieure colorée rappelant une ville antique et une partie inférieure sombre, avec une structure centrale évoquant une porte symbolique.
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« Perspective urbaine » de Rosine Chufisant utilise une perspective linéaire pour représenter une avenue bordée de gratte-ciels. Les traits fins et précis, influencés par Moebius, Schuiten et Piranesi, soulignent la complexité architecturale et la densité urbaine.
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Cette peinture de Diane Darren conjugue l’esthétique de l’infini de Kusama, avec un sujet floral inspiré de O’Keeffe. La composition centrée sur une fleur stylisée, flottant dans un cosmos ponctué de cercles, crée un effet d’absorption. L’artiste revisite l’art floral avec une approche d’accumulation sérielle et de répétition de formes simples.
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« Tony M. » de Ayumi Yosaka est un portrait en profil inspiré de Tony Montana, fumant une cigarette. L’œuvre évoque le style de Caravage et s’inspire de Daido Moriyama et Richard Avedon. Elle explore des thèmes comme l’identité, le pouvoir et la dualité de la nature humaine.
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« Le chat et l’oiseau » de Chang Baoshi est une œuvre de peinture à l’encre chinoise, représentant un chat noir près d’une fenêtre, observant un oiseau en vol. L’œuvre évoque une atmosphère introspective, avec des thèmes de solitude et de contemplation, et s’inscrit dans la tradition des peintures de chats dans l’art asiatique.
« Abbey Road » de Karla Fidho est une peinture surréaliste représentant quatre manchots traversant une rue de New York. L’œuvre évoque le réalisme magique et pourrait être interprétée comme un commentaire sur le changement climatique. Elle fait référence à la pochette de l’album Abbey Road des Beatles.
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« L’Arche et le Rond » d’Elke Palu est une composition abstraite dominée par une arche brun-noir aux formes géométriques et courbes surmontée d’un cercle noir. Cette œuvre, à la fois moderne et primitive, rappelle l’art rupestre et l’art abstrait du XXe siècle. L’interprétation est ouverte, l’arche pouvant symboliser un passage vers un autre monde et le…
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Fidho propose un portrait stylisé de Martin Luther King Jr., le regard intense dirigé vers le haut, évoquant son célèbre discours « I have a dream ». cette œuvre constitue un hommage vibrant à Martin Luther King Jr. et à son message d’espoir et de liberté.
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« Daft King » de Martin Greet est une œuvre conceptuelle qui utilise l’anachronisme pour fusionner le passé et le futur. Elle rend hommage à Daft Punk et évoque des œuvres de Ingres et de Vinci. Ces références culturelles ajoutent une profondeur à l’œuvre, invitant à la réflexion sur la notion du temps et de l’espace.
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« Contrastes Urbains » d’Elke Palu est une scène urbaine nocturne abstraite. Les bâtiments et leurs reflets sur l’eau sont suggérés par des formes et des mouvements. L’œuvre évoque diverses interprétations, reflétant la complexité de la vie urbaine.
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« Paris Glamour » de Jade Loupange est une photo monochrome d’une femme anonyme dans une rue animée. L’œuvre s’inspire des travaux de Richard Avedon, Helmut Newton et Patrick Demarchelier, avec un accent sur le contraste, la profondeur de champ et l’utilisation de la lumière et de l’ombre.
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« Lynx boréal » de Chang Baoshi est une aquarelle d’une précision remarquable, représentant un lynx de profil sur un fond blanc immaculé. Les oreilles du lynx, ornées de touffes de poils noirs appelées « pinceaux », ajoutent une dimension visuelle intrigante à l’œuvre. L’artiste s’inspire de la nature et de ses expéditions photographiques dans l’Himalaya.
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« Lame de fond » de Sara Diva-Parc s’inspire des maîtres de la photographie marine Ray Collins et Philip Plisson. Cette œuvre allie puissance des vagues et composition soignée. Approche technique et instant décisif confèrent une présence visuelle remarquable, invitant à contempler la force de la nature par l’art photographique.
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